Je buchais encore et toujours sur un devoir sur un fameux sort impardonnable que j'avais à rendre dans quatre jours. Le sujet étant tabou et audacieux j'étais persuadé que la proffesseur Mcc. Gonagal apprécierait mon choix, le theme étant complètement libre. J'étais donc à ma table il était minuit passé et j'en pouvais plus. Je soupirais en calant ma tête dans mes bras un instant. J'avais besoin de me relaxer Un bon bain me ferait beaucoup de bien pensais-je alors. Je me levais doucement en baillant aux corneilles pris un caleçon dans mon dortoir mis une serviette sur mon épaule et me dirigeais d'un pas vif dans la salle de bain des préfets. Lieu par conséquent RESERVÉ au préfet donc lieu où je n'avais STRICTEMENT pas le droit de foutre mes pieds étant un simple élève. J'arrivais et fu agréablement surpis il y avait déjà de l'eau et de la mousse partout. Et puis ça sentais bon mais tellement qu'on en mangerais quoi! Et ces montagne de mousse j'étais au paradis! Je scrutais les alentours mais il ne semblait y avoir personne. J'enlevais donc toute mes fringues pris un peu d'élan et plongeais tête la première à l'interieur. Aaaaahh elle était chaude en plus! Je souriais comme un con dans la douceur de l'eau en faisant toute les nages que j'aimais brasse et surtout crowl. Je me mis ensuite sur le dos en faisant l'étoile de mer. Ma peau était brulante mais je me sentais bien. Je fermais les yeux completement détendu quand soudain je percutais quelque chose. Aie! je me frottais la tête en perdant pied quelques instants et me retournais. Moi qui pensait être seul c'était loupé! Une fille était là surement une préfète! Je la regardais plus attentivement, hum pas mal la préfète Je hum... Je ravalais ma bile soudain inquiet comment me sortir de ce guépier ? Pris par surprise je peinais à trouver mes mots. Je suis là sur ordonnance médical. Puis je vis son regard. Rigole pas! Dis je en riant aussi. Je soufflais la regardais intensément et décidais d'être honnète. De toute façon j'avais pas le choix j'arrivais pas à mentir correctement ce soir, c'était surment du à la fatigue Bon ok... J'avais juste envi de prendre un vrai bain mais le dit pas s'il te plait. Je me ne voudrais pas que ma maison perde des points par ma faute. Je fis une tête un peu triste en me frottant la nuque. J'écoutais sa réponse puis coulissais un regard vers elle avec de gros yeux surpris. PARDON ? je la regardais et me mis à éclater de rire. Incroyable.

Après ma rencontre avec Effy, je décidais d'aller visiter l'école. Les couloirs étaient peu peuplés, tant mieux. Je me promenais d'étage en étage, ouvrant les portes qui s'ouvraient. J'arrivais devant une porte qui était particulièrement bien dessinée. j'ouvris et me retrouvais entourée de mousse provenant de toute part, je m'avançais un peu plus et me retrouvais nez-à nez avec un immense basin d'eau fumante. Je m'en approchais et, ne voyant personne, m'asseyais au bord, enlevais chaussures et chaussettes, relevant mon pantalon puis trempais mes pieds dedans. l'eau était brûlante mais c'était agréable . Je sortis mes écouteurs de mon sac, les mis dans mes oreilles, choisis une bonne musique puis m’allongeas sur le sol, toujours les jambes dans l'eau. Cela devait faire quelques minutes que j'étais ici lorsque quelqu’un me percuta. Je me redressais en sursaut . C'était un jeune homme brun aux yeux bleus, qui était certainement venu se baigner mais je n'avais pas remarqué sa présence avant. Il me dit qu'il était venu ici suite à une ordonnance du docteur. Je le regardas interloquée. Il du s'en rendre compte car il me dit de ne pas rigoler, ce que je fis cependant, sans pouvoir me retenir. Il se mit à rire aussi et il me dit, s'étant calmé, qu'il était venu ici pour prendre un bon bain mais que ne devais en toucher mot à personne car sa maison pourrait perdre des points par sa faute. Je lui répondit par une question lui demandant: il y a des maisons ici? Je croyais que Poudlard était un château! Il se mit à rire, je rigolais aussi tout en attendant sa réponse.

J'éclatais de rire ah nan mais là elle m'avait tué! Enfaite on pouvait l'interprété de trois façons differentes soit elles se foutaient de ma gueule soit c'était un jeu de mots mais pire tu meurs! xD soit elle débarquait tout simplement! Je choisis la troisième solution! Biensur que y a des maisons ici!! Pour moi c'était tellement évident que je comprenais pas que quelqun ne puisse pas savoir ça. Allez c'est pas grave va on va mettre ça sur le fait que tu sois nouvelle! Dis je en lui faisant un clin d'oeil. Bah oui parce que à part être nouveau y avait aucune chance qu'elle puisse ignorer le fonctionnement de l'école. Je m'accoudais au rebord du bassin puis glissais ma main le long de ma jambe afin d'attrapper ma baguette qui y était finnement attaché par deux solides lanières. Ma baguette me quittait jamais on ne sait jamais ça peut toujours être utile et puis même je me sens à poil sans elle! Accio serviette! Dis je d'une vois forte une fois que je l'avais bien en main. J'attrappais ma serviette grise au vol, me hissais alors en haut du bassin avec mes bras musclés. Tout en enroulant ma serviette autour de ma taille, je tendis la main vers la charmante inconnue non seulement pour me présenter mais aussi pour l'aider à se relever. Je m'appelle Tony et toi ? Dis je avec un sourire en coin. Allez suis moi je vais te faire une présentation des lieux. A commencer par le meilleur des endroit la salle commune des serdaigle! ahah t'as cru j'allais dire ma chambre hein ? bah nan sale vicieux! En continuant mon chemin vers la sortis je ramassais au passage mes fringues que j'avais laissé sur le sol. Attend tourne toi s'il te plait! Dis je avec un petit rire. J'allais pas me changer devant une quasi inconnue quand même! J'enfilais mes fringues puis me mis à chercher mes tongs; merde elles étaient passés où ?

Il éclata de rire suite à ma réponse, puis s'exclama qu'il y avait bien sur des maisons ici. Puis il me dit que ce n'était pas grave, qu'il oublierait ceci du fait que j'étais nouvelle. Il s'accouda au bord du bassin, attrapa sa baguette et dit une formule qui fit voler sa serviette jusqu’à lui. Elle s'enroula autour de lui lorsqu'il sorti du bain mais pas assez rapidement pour que je puisse voir ses bras musclés et son torse si bien dessiné . Il m'offrit sa mais pour m'aider à me relever. Je la prit et, une fois debout, il se présenta a moi comme s’appelant Tony . Je lui répondit que je m'appelle June.

Ah tu t'appelle June super jolie prénom j'aime! Dis je en lui serrant vigouresement la main. J'enfilais mes vêtements rapidement. Et me demandais où mes tongs avaient bien pu passer ? Je scrutais les alentour mais avec toute cette vapeur on y voyais pas grand chose! Bon c'est pas grave quelles sont les chance pour que quelqun les reconnaisse de toute façon ? J'éclatais de rire tout en disant que je reviendrais demain les chercher plus scrupuleusement. Bah oui je suis précautionneux d'habitude. J'avais je sais pas une grosse envie de la balancer à la flotte! Hey June ? Elle se retourna. Non non rien! Dis je alors me ravisant au dernier moment. J'eus un petit rire, comment j'avais pu seulement pu avoir cette pensée je la connaissais à peine! Dans le mouvement de mon bras pour la pousser je la pris par l'épaule comme pour un début de calin amical et la senti se raidir. Curieux... je ne faisais pas cet effet là d'habitude. On est sorti de la salle de bain. Aufaite t'écoutais quoi ? Demandais je gentiment en désignant son mp3. J'étais passionné de musique donc évidemment je ne pouvais pas faire l'impasse sur cette question.

Il me dit qu'il adorait mon prénom tout en me serrant la main . Puis, il me pria de me retourner. Ce que je fis en éteignant ma musique, en fourrant mon Ipod précipitamment dans mon sac et en ramassant mes chaussures et mes chaussettes. Il m'interpella et je me retournais mais ils se ravisa en fessant un petit signe de la main et en pouffant, ce qui me fit sourire. Son bras effleura le mien mais je me décalais prestement . Nous sommes ensuite sortis de la salle de bain en fessant bien attention à ce que personne ne nous voie Il me demanda ensuite quelle musique j'étais en train d'écouter. Je lui répondis: oh, juste quelques musiques d'actualités que j'ai entendu dans le train en venant ici....

Hum ok! Dis je alors faignant de savoir de quoi elle me parlait. J'avais envi de la bourer de question. En plus j'avais vu son petit regard tout à l'heure elle avait eu la même idée que moi. Je la sentais joueuse mais pourtant quelque chose clochait comme si elle cachait un lourd secret... Bon ok je suis peut-être parano mais j'avais un bon feeling là-dessus. Et puis sinon comment expliquer le fait qu'elle se soit décallée tout à l'heure ? Mon cerveau tournait dans tous les sens. Elle avait peut-être des bleus et du coup ça lui faisait mal quand quelqun la touchait ? Ah oui peut être que son père est un infiltré travaillant pour le FBI et que sa fille est un moyen de pression ? Peut-être que... Oula STOP!! Nan mais DANS QUOI je pars ? --' Je profitais du regard marron chocolat de June quelques instants. Puis une question qui en laissait sous entendre tellement d'autre s'échappai alors de mes lèvres. Tu viens d'où ? Elle avait en effet un drôle d'accent charmant je vous l'accorde mais je me demandais bien de quel pays il pouvait provenir. Je lui fis un sourire et j'ai vu son ipod dépasser de sa poche il allait finir par glisser. Ce qu'il fit à la seconde où je l'avais pensé! Hasard ? Certainement oui... je l'attrappais avant qu'il ne touche le sol et joueur me mis à farfouiller un peu dedans! Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan en vrai t'écoutais les Beatlles!!! Ahahahaha faut pas avoir honte "Hey Jude" est une très belle chanson!! Je l'esquivais hilard tendis qu'elle essayait de récupérer son ipod. Doucement tu vas te faire mal petite. dis je en allant maintenant dans ses photos. Je marquais un arrêt légerement surpris. C'est quoi ça ? y avait des photos de bleu de marques de fouets sur un corps meurtris de partout. Putain c'est glauque. Puis soudain j'ai fait le lien. C'est... mon dieu c'est TOI ???? Faut en parler à la police!!!!! C'est ton père qui te frappe ????

Il répondit par un simple ok mais je voyais bien qu'il se posait encore des questions . Il me demanda d'ou je venais et je lui répondit: je viens de France , j'étais en internat, mais ma résidence se trouve à Londres, je t'expliquerait un jour..., pensant que jamais plus je ne le recroiserais dans cette école. Il me sourit suite à ma réponse et ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais baissa les yeux en direction de mon sac. Je compris trop tard ce qu'il avait prévu de faire. il s'en saisit alors qu'il allait toucher le sol et s'écarta de moi en l'allumant. Tout à coup, je ne rigolais plus mais essayer de paraître la plus détendue possible. il me dit en se moquant de moi que ce n'était pas si terrible que ça que d'écouter les Beatles . J'esquissait un sourire en coin. J'essayais de reprendre mon baladeur mais il s'écarta trop rapidement. Il se moqua ensuite gentiment de moi et je souris, pensant qu'il allait me le rendre de suite. Ce qu'il ne fit pas. Je le fis faire défiler son doigt sur mon écran sans savoir ce qu'il fessait. je compris à la minute lorsqu'il fixa l'écran sans plus bouger. Puis, il me posa une foule de questions mais je savais déjà sur quoi elles portaient. Il était tombée sur lune photo de mon dos qui datait d'y il y avait quelques heures. Je posais mon sac par terre et m'approchais de lui: ce n'est rien, ne t'inquiètes pas. C'est la photo du dos d'une petite fille que je parraine à l'hôpital voici maintenant plusieurs mois. Elle a eu un accident de voiture, enfin elle s'est fait renversée par un bus, essayais-je d'articuler en sentant les larmes me monter aux yeux , enfin non, c'est quelqu'un qui lui a fait, elle s'est fait taper, continuais-je en soutenant son regard, mais il était à présent trop dur de continuer à mentir, enfin... c'est... c'est moi, dis-je en fondant en larmes en tombant par par terre, sur les genoux, me cachant les yeux avec les mains .

Han elle venais de France!!! J'y suis jamais allé faudra que tu me fasse visiter un jour... dis je en lui donnant un petit coup d'épaule Un jour... répétais je alors... C'est vrai que ce genre de rencontre qu'on venait d'avoir ne durait jamais plus d'une journée. C'est dommage on pourrait devenir de super bon potes je le sentais! Je lui avais alors prit son baladeur en la faisant tourner un peu partout autour. C'était trop drôle la façon dont elle sautillait pour l'attrapper! Puis pour la taquiner j'étais allé dans ses photos pensant trouver des photos à la con genre entres potes entrain de boire ou fumer certaines substances illicites. Je ne m'attendais pas du tout à trouver des photo de filles battu!! :O Non ce n'est pas rien June!! Puis je la voyais s'empêtrer dans ses mensonges pour finalement me dire en larme que c'était elle! Je pris soudain une longue respiration j'avais carrément oublié de prendre une nouvelle bouffée d'air sous le choc de cette révélation! J'expirais ensuite bryament. Que faire ? Je n'avais jamais été dans cette situation auparavant. Ce qu'elle avait vécu et vivait encore à l'heure actuel était tout simplement horrible. Quel genre de personne pourrait faire du mal à une jeune fille d'une façon aussi cruelle ? Je me mordis les lèvres hésitant puis l'approchais. Je m'arrêtais comprenant soudain pourquoi elle s'était écarté à chaque fois que je l'approchais... le contact avec un autre humain devait lui rappeller la personne qui lui avait fait du mal. Mais le truc c'est que pour consoler moi je parle presque pas je fais des calins. J'allais devoir la réconforter d'une façon étrangère. De toute façon la voir pleurer comme ça je pouvais pas fallais que je fasse quelque chose et vite! Je te ferais pas de mal promis. Je lui pris sa main et la posa contre mon coeur ( EN MODE TVD!!! xDD MDRRRRRR' ) Tu entend ma respiration ? Ferme les yeux et ressent là. Calme toi rien de mal ne peux t'arriver. Il n'y a que nous deux June. Que nous deux. Elle semblait s'être calmé j'esquissais un sourire. Je ne lachais pas sa main et l'emmenai alors dans la salle commune des serdaigle. Je lui proposais alors de s'asseoir près du feu sur le sol. Je pris ensuite place à quelques cm d'elle. Sa main toujours fourré dans la mienne je l'enjoignis à parler. Je suis là... si t'as envi d'en parler je suis là. Je déglutis pour une première rencontre je risquais pas de l'oublier de si tôt celle là!! Je lui fis un sourire rassurant. Et dans mon regard je savais qu'elle verrait que quoi qu'il arrive je ne la laisserais pas tomber.

Il me dit que ce n'était pas rien. C'est suite à cette phrase que j'avais décidé de lui lui dire la vérité. Je l'entendis s'approcher de moi mais s'arrêter à quelques pas, je devinais qu'il ne savait pas quoi faire. Il me dit qu'il ne me ferrait pas de mal. Il me releva et prit délicatement ma main pour la poser sur son coeur. De l'autre, j’essuyais rapidement mes larmes, en prenant bien soin de tourner la tête pour qu'il ne me voie pas. Il me demanda si j'entendais sa respiration et je répondit d'un petit oui, en essayant de me calmer. Il me dit de me calmer et qu'il ne me ferra pas de mal. Je suivis ses indications et me calmais petit à petit, en respirant lentement. Lorsqu’il sentis que j'allais mieux, me dit de le suivre dans "la salle commune des Serdaigle". Nous récupérâmes donc nos affaires et je le suivis, en tenant toujours sa main. Une fois rendus, nous nous installâmes auprès du feu, séparés de quelques centimètres seulement. Il me dit que si j'avais envie de parler, je pouvais tout lui dire. Je sentais que je pouvais lui faire confiance. Je me mis à tout lui raconter depuis le début: J'habitais à Londres, dans un quartier assez riche. Mes dons sont apparus alors que je n'avais que huit ans. le directeur de l'hôpital où j'étais restée quelques temps pour appendicite, était sorcier et me fessait suivre des cours par correspondance. Mes parents. Ma famille était connue de tous car mon père avait un rôle très important vis-à-vis de notre ville. Ma mère ne travaillait pas mais n'employait pas non plus de bonnes à tout faire, se disant qu'elle préférait garder l'argent de mon père pour elle. Mais il fallait une femme de ménage pour nettoyer notre grande maison. J'en fit dons office. Je fessais tout à la maison: le ménage, les courses, la vaisselle. Lorsque ce n'était pas bien fait, ils me punissaient en me privant de nourriture et en m'enfermant à la cave. Ca allait jusque là mais c'est après que ça a dégénéré. Ils se sont mis à me frapper sans aucunes raisons, j'avais l'impression que c'était leur plaisir. Ils disaient que c'était car je ne fessais pas correctement mon travail, alors que je m'y appliquait avec grand soin. C'était ma soeur qui défessait tout. Elle adorait me voir souffrir. Ils sont tous les quatre morts dans un accident de train. Une famille m'a adoptée quelques temps plus tard. C'était une famille sorcière. Elle était très gentille et ils m'acceptèrent tout de suite. Ils m'ont envoyée ici afin que je puisse reprendre mes cours.
Une fois mon récit terminé, nous restâmes quelques instants sans parler, à regarder les flammes danser dans la cheminée. Tu veux voir? je lui demandais soudain. Il me répondit oui et nous nous levâmes pour nous diriger dans un coin un peu à l'abri des regards.

Je l'avais écouter, touché parce qu'elle me racontait j'essayais de me montrer solide comme un roc pour qu'elle sache qu'elle aurait toujours quelqun à qui se raccrocher. Même si je ne disais pas un mot je pense que quelque part je la comprenais. Nous étions tout deux perdu dans nos pensées en regardant les flammes flamboyantes de la cheminée cependant c'est comme si nous étions connecté. D'ailleurs je tenais toujours sa main. Je ne savais pas quoi lui dire et de toute façon je n'avais rien à lui dire. Puis elle m'a proposé de me montrer, j'ai alors aquiescé toujours aussi silencieu. Nous nous sommes mis un peu à l'écart dans un coin. Elle m'a regardé intensément et j'en fu troublé, elle me faisait tellement confiance. Puis elle s'est retourné délicatement vers le mur tendis je glissais ma main sous son T-Shirt. Je le relevais délicatement en passant ma main sur sur les bleus de son dos. Mes doits tremblaient et je la senti trembler elle aussi. J'enlevais alors complètement son haut et pu voir les marques de griffures sur ses épaules et les traces de coup de fouet. Oh mon dieu... J'étais destabilisé . Lorsque je passais sur une de ses écorchures je lui murmurais à l'oreille. T'as mal ? Lorsqu'on voyait au dela des blessur on pouvait deviner une peau d'albatre et douce. Je la sentais tendus et sans vraiment comprendre pourquoi je me suis mis à lui masser entre le coup et les épaules. C'était purement amical j'essayais juste de la soulager. Detend toi June lui susurrais je alors à l'oreille avec un petit sourire. J'ESPERE QUE JE NE VOUS DÉRANGE PAS ?! Je me retournais comme électrocuté vers la personne qui venait de parler. Proffesseur Flitwick!! Dis je soudain sans pour autant me décaller d'un milimètre de June au contraire je me mis devant elle. Nan mais ho elle était en soutif il a cru quoi ce vieu pervers ? Je partis dans un eclat de rire nerveux. Je peux tout vous expliquer! Enfaite je me rendis compte que non je ne pouvais pas. Je pris une longue inspiration. Enfaite c'est pour un test de sortilège... C'est euh enfaite.... on doit... Ah et puis merde!! Je pointais ma baguette vers le prof. OUBILIETTE!!! Je m'étais concentré pour qu'il zappe les cinq dernières minutes. Je pris alors vivement June par la main. Allez vient on se casse!! On monta un escalier à toute vitesse puis nous faufillions dans tout plein de couloirs a bout de souffles nous arrivions enfin dans mon dortoir. Je sautais sur mon lit en hurlant dans mon oreiller. AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH MAIS QU'EST CE QUI M'A PRIT!!!! Heureusement le bruit était étouffé. Je mordis un peu mon oreiller et m'assi sur mon lit. T'inquiète je mord pas les êtres humains viens t'asseoir. Je m'asseyais confortablement le dos bien collé au mur en fixant june du regard.[color=darkblue] Je repensais au faite qu'elle m'avait dit qu'elle n'avait nullepart où aller et que son père adoptif remuerait ciel et terre pour la retrouver. Je me mordis les lèvres j'étais un sang mélé autrement dit mon père est un sorcier et ma mère une moldu. Je connaissais très bien les deux mondes. Mes parents possédent une maison assez reculé en Angleterre à Canterburry. Je me mordis les lèvres puis passais une main dans mes cheveux. Si tu veux je peux t'heberger chez moi pendant les vacances ?

Une fois arrivés dans un coin, près des fenêtres recouvertes de lourds rideaux bien chauds et bien épais, je lâchais sa main et le regardais, pour essayer de déceler dans son regard quelques traces de peur mais il ne laissait rien paraître . Je me suis alors retournée doucement pour me retrouver face au muret je sentis qu'il glissai sa main sous mon tee-shirt, très doucement mais je le sentais frémir, ce qui me fit tressaillir aussi. Il dessina le contour de mes bleus avec ses doigts. Puis, il enleva complétement mon tee-shirt, me retrouvant en simple soutien-gorge mais cela ne me gênais pas pour autant, je lui fessait confiance. Il s'arrêta un instant pour contempler ce qui me fessait office de dos mais qui était d'une couleur bleu-violacée et qui virait au vert-jaunâtre à certains endroits. je le l'entendais plus parler; signe qu'il était interloqué. Il passa ses doigts sur une de mes blessures et me murmura tout doucement si j'avais mal, je lui répondit, tout aussi doucement, non, ça fait tellement de bien de s'occuper de moi ainsi, ça fait tellement longtemps que l'on a pas pris soin de moi comme ça, outre les moments passés à l'hôpital. . Je me tendis soudain lorsqu'il effleura une blessure qui n'avait pas encore cicatrisé. Il se mit alors à me masser doucement les épaules et le bas du cou. Quel bonheur! Je laissais tomber ma tête en avant et me détendis petit à petit. je souris même lorsqu'il me parla à l'oreille. J’ESPÈRE QUE JE NE VOUS DÉRANGE PAS ?! . Je me redressais soudain en entendant une voix étrangère nous crier dessus. Tony s'écria le nom du professeur, un certain Flittwick, laissant entrevoir un petite personne barbue et portant des lunettes. Tony se mit devant moi de sorte que je puisse me rhabiller. Il partit dans des explications toutes les plus farfelues les unes que les autres. Puis, ne me laissant pas le temps de réagir, il pointa sa baguette en direction de ce petit homme et dit une formule magique pour lui faire oublier. Il me prit ensuite par la main et m'entraîna dans un dédale de couloirs pour arriver dans sa chambre. Une fois la porte fermée, il se précipita sur son lit en se morfondant On monta un escalier à toute vitesse et arrivions dans mon dortoir. Il se précipita sur son lit en étoufant tout un tas de jurons. Il se rassit ensuite en position normale et m'invita à l'approcher, m'affirmant qu'il ne mangeait personne. Il se décala et je vins m'assoir au bord de son lit. Nous nous fixâmes jusqu’à ce qu'il me dise que je pourrais aller passer les vacances chez lui. Ça serait très gentil mais je crois que je t'ai posé assez de problèmes comme ça. Je vais aller voir le directeur et lui dire que tout est de ma faute, que c'est à moi et à moi seule d'en payer les conséquences et que tu n'y es pour rien dans cette histoire . Je me levais, lui aussi, sortis ma baguette de mon sac pour lui faire oublier tout ce qu'il venait de se passer mais, comprenant ce qui l'attendait, il se leva, s'approcha de moi ne un bond dans que j'ai pu réagir, me la prit des mains, la glissa dans sa poche arrière de son pantalon et me tint mes deux poignets avec sa main droite. De l'autre, il me caressa le visage et commença à me parler, prenant une voix très douce .

Nous étions dans une sorte de bulle où rien ne pouvait nous atteindre, les rideaux lourds et rouges nous préservait du reste du monde. A demi dans l'obsurité j'obervais son dos et tendis que du bout de mes doits je touchais ces blessures, je sentais mon souffle se faire court. Je lui avais alors demandé si celà lui faisait mal, d'une voix douce elle m'apprit qu'au contraire celà lui faisait du bien et qu'il y a avait bien longtemps que personne ne s'était occupé d'elle. A ce moment précis j'ai suspendu mon geste, je n'avais qu'une envie c'était de la serrer fort dans mes bras. Je voulais qu'elle comprenne qu'elle sache qu'elle n'était pas toute seule. Cependant je ne me permettrais pas de lui faire du mal en appuyant même délicatement sur ces blessures. Comme pour compenser je me suis mis à masser tendrement sa nuque d'une façon un peu trop sensuelle pour être amical. Cette zone était la seul non touchée ou presque. Au fur et à mesure du temps passer ensemble je la sentis se détendre et tendis que j'avais approché ma bouche près de son oreille pour lui parler j'avais pu la voir sourire. Son sourire était magnifique tellement vrai tellement pur. J'allais détourner le regard quand Flitwick est arrivé et nous a fait flipper en s'intrusant de façon brutale dans notre bulle d'intimité. J'avais réagit au quart de tour. En effet je lui avais fait oublié grâce à un sortilège ce à quoi il pensait surement avoir assisté puis j'avais emmené June dans le premier endroit qui me semblait à l'abri, mon dortoir. Je me suis alors jeté sur mon lit en me lamentant. BORDEL QU'EST CE QUE J'AVAIS FAIT ??! Je me suis alors assis sur mon lit confortablement et je lui est proposé de se joindre à moi. Une fois qu'elle s'était installé prés de moi nous avions eu ce regard. Je ne serais pas le décrire. C'était comme s'il n'y avait aucune barrière entre nous on se voyait tel que nous étions. Et ce que je voyais bon sang ce que ça me plaisait! J'avais alors rompu ce moment magique en lui proposant d'habiter chez moi pour les vacances afin de l'aider biensur. Elle déclina pretextant qu'elle m'avait assez causé d'ennui comme ça. Je fis des hochements de tête négatif pas du tout d'accord. Non non je ne la laisserais pas assumer ça toute seule. Nous nous étions levés de son lit et à présent nous étions debout face à face. Elle continuait de me parler sous mon regard attentif. Puis je la vis sortir sa baguette de son sac je réagis immédiatement en comprenant ce qu'elle avait dans la tête. Avant qu'elle est pu lancer le moindre sort je lui est enlevé sa baguette des mains en la glissant vivement dans la poche arrière de mon pantalon. Puis dans un même mouvement j'ai attrappé délicatement ses deux poignets de ma main droite pour l'empêcher de la récupérer. Elle n'avait pas apprécié ma rapidité et celà me fit sourire. Je penchais légerement ma tête sur le coté en plissant un peu les yeux. Dans son regard je percevais quantité de chose le doute la peur et quelque chose d'autre aussi. Je sentis une brulure dans le bas de mon ventre. De ma main libre je lui est caressé sa joue tendrement puis j'ai glissé une de ses mèches rebelles derièrre son oreille. C'est comme si je lisais dans ses pensées. Non... Je lui est fait un petit sourire malgré le serieu de la situation. Tu ne me fera pas oublier June. Ces paroles avaient tellement plus de profondeur qu'il n'y paraissait... J'approchais alors mon visage du sien pour que nos yeux soit à la même hauteur et aussi parce que c'était plus intime comme ça Je m'en fou d'avoir des problèmes ça me passe carrément au-dessus la seule chose qui importe c'est toi. Son regard marron chocolat me destabilisait cependant je ne cillais pas. Je pouvais sentir son souffle sur mon visage tellement nous étions près l'un de l'autre.

Il me dit qu'il s'en fichait d'avoir des problèmes ou non à cause de moi. Tout en disant cela, il avait approché son visage tout près du mien, de façon à ce que l'on puisse se regarder directement les yeux dans les yeux. Je voyais dans ses yeux une sorte de fierté, lorsqu'il avait été plus rapide que moi et il sourit en devinant ce que je pensais. Sa main toujours posée sur mon visage et l'autre me tenant toujours les poignets, il me fixaient de ses magnifiques yeux bleus . Aucun de nous deux ne parlait plus, ne voulant pas gâcher ce moment si particulier. Je le regardais, il me regardait. c'était tout simplement magique et c'était comme si nous nous trouvions dans un monde irréel, que le temps de passait plus. J'avais posé une main sur son épaule, sentant ses muscles si biens formés, et l'autre était posée sur sa hanche . Pour rien au monde, je ne voulais que ce moment s'arrête. Il pencha la tête d'un côté et je fis de même de l'autre. nous allions nous embrasser lorsque quelqu'un toqua à la porte, nous interrompant. Tony râla, ouvrit la porte, mais personne ne se trouvait derrière. Il la referma d'un coup sec . Gênés, nous ne disions mot. je pris mon sac et le posais délicatement sur mon épaule après avoir pris bien soin de remettre mes habits bien correctement. Je euh, je ferrais mieux d'y aller, on se voir plus tard, lui dis'je en me retournant et en me dirigeant vers la porte. j'allais l'ouvrir lorsqu'il m'interrompit.

Elle avait une main sur mon épaule et l'autre sur ma hanche et son regard plongé dans le mien. J'ai alors posé mes deux mains sur ses hanches en approchant son corps près du mien. Je sentais la brulure dans mon ventre grandire en moi fallait que je me calme! Néanmoins je n'avais pas envi de m'arrêter. Son regard était incandescent et elle était super sexy je ne pouvais pas résister! J'ai approché tout doucement ma bouche de la sienne nos lèvres allaient s'effleurer! QUAND SOUDAIN!! La porte s'ouvrit! --' Je ralais en m'écartant d'elle. J'ouvris en grand la porte, personne! Certainement un fantôme qui joue des tours... Ou je ne sais pas mais en tout cas il avait gaché un moment parfait! Ennervé je refermais la porte d'un coup sec! Je me retrouvais nez à nez avec June qui avait mis son sac sur son épaule et qui me disais qu'elle ferait mieux d'y aller. Elle me passa devant en allant ouvrir la porte. Attend! Je la retins par le bras, c'était un geste doux plus comme une carresse en faite. Elle se retourna vers moi tendis que son sac glissait sur le sol dans un bruit sourd. Je l'ai alors plaqué doucement contre la porte. Ne pars pas. Je sentais son corps chaud contre le mien. J'étais enflammé en sa présence. J'ai alors glissé mon nez au creux de sa nuque en le frottant un peu d'une façon chou puis je lui est sussuré. Reste... J'embrassai son coup puis j'ai glissé mes deux mains le long de ses bras pour finallement arrivé au creux de ses mains. Celles ci étaient légerement entrouverte. Je les carressais du bout des doits puis je l'ai embrassé elle sur la bouche. J'entrouvris un peu mes lèvres afin que nos langues puissent s'entre-mélé. Je sentais des frissons me parcourire tendis que le gout de sa bouche s'impregnait en moi. Je l'embrassais d'abord timidement puis plus ardement me laissant envahir par ce que je ressentais pour elle... de la passion.

Il fit une enjambée vers moi et me reteint par le bras, très doucement, comme s'il avait peur de me casser. Je me retournais alors vers lui, laissant mon sac glisser à terre. Il m'a alors collée contre la porte, toujours avec douceur. Il m'a dit de ne pas partir. Je ne bougeais plus. Je sentais son ventre se soulever au rythme de sa respiration. Il a alors baissé la tête pour venir poser son nez au creux de ma nuque pour ensuite le frotter . Il me dit tout bas de ne pas partir. Pourquoi partirais-je? lui demandais-je tout bas. Il embrassa mon cou tout en parcourant mes bras de haut en bas pour finalement prendre mes mains dans les siennes. Il me les caressa e je fis de même. Puis, il releva la tête et je fis de même en même temps. Il se baissa vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. Je le laissais faire. Je le sentis frissonner. Nous nous embrassâmes d'abord lentement, tous les deux une peu timides, puis plus vivement. Je me sentais tellement attirée par lui que j'avais l'impression que ça fessait longtemps que nous nous connaissions alors que cela ne fessait que plusieurs heures. Je me mis à sourire et détachais une de mes mains des siennes pour venir encercler son cou avec. Il sourit aussi sans pour autant nous détacher l'un de l'autre . Comment ce fait-il que cela se produit alors que tu vas te faire punir à cause moi? Je ne supporterais pas de te voir mal. Imagine qu'ils te mettent en prison? J'irais à ta place, je ne pourrais pas supporter de te voir te sacrifier pour moi. Nous ne nous connaissons que depuis quelques heures et je t'apporte déjà des ennuis. Qu’est-ce qui m'a prit de tout de raconter comme ça? Qu'est-ce que je pourrais faire pour que tu ne te fasses jamais prendre? .

Tendis que je lui avais soufflé au creux de son oreille de ne pas partir elle me répondis qu'elle ne voyait pas pourquoi elle partirait. Mes yeux s'équarqillèrent un peu elle avait autant envi que moi que l'on partage un moment intime tous les deux. On était tellement en phase. Je sentais la pressions de ses carresses dans mes mains. La sentant prète je l'avais alors embrassé, d'abord timidement puis plus passionément. Je me laissais transporté par le désire qu'elle me procurait. Je voulais sentire chaque parcelle de son corps contre le mien, la température montait très jusqu'à ce qu'elle m'arrête. A la seconde où elle s'était écarté je m'étais stoppé je ne la forcerais jamais à rien. J'étais un peu déçu néanmoins je lui souriais tellement heureux que quelques heures plus tôt le hasard nous est fait nous rencontrer. Elle encercla ses mains autour de mon cou tendis que j'encerclais tendrement sa taille de mes mains. Puis elle m'expliqua qu'elle avait peur pour moi du fait qu'elle m'avais mit dans un mauvaise position. Elle était adorable je lui est fait un sourire tout en frottant mon nez contre le sien dans un geste tendre. Ne t'inquiète pas pour moi. Ce que tu pourrais faire pour que je ne me fasse pas prendre ? Dis je alors en faignant de réflechir On verra ça plus tard! :D Puis en voyant que cela l'inquiétait vraiment j'ajoutais. Je suis un grand garçon je sais me débrouiller tout seul. En plus de ça le père de June était un simple moldu sans vouloir être prétentieux il ne pouvait rien faire contre moi. J'aimerais tellement chasser ce souci dans son regard. Je voulais la voir heureuse et épanouie. Puis je me suis mis à penser à quelque chose... J'ai une surprise pour toi. Dis je d'un air mysterieux en la prenant par la main. Je l'emmenais alors dans la forêt interdite et appellais le sombral que j'avais dressé. Celui-ci se posa davant nous June pouvait bien le voir étant donné qu'elle avait été confronté à la mort. Je pris la main de June et l'aidais à monter sur le dos de mon animal volant. Fait gaffe à pas glisser de l'autre coté. Dis je en ayant peur qu'elle se fasse mal. A ma grande surprise elle savait parfaitement monté dessus. Je me plaçais enuite derièrre elle en glissant un bras autour d'elle, bah oui elle pourrait glisser. Le sombral monta dans les air et on profita de la vu magnifique. J'échangeais un regard avec June. Elle avait l'air d'avoir oublié toute ces histoires de chasse à l'homme. J'esquissais un sourire, mission accomplie. Puis le sombral nous a fait atterir sur une petite colline. Nous avons passé des heures à parler rire et s'embrasser. A présent le soleil était entrain de se lever. Elle était tellement belle j'en étais comme foudroyé. Allongé l'un contre l'autre je jouais avec une mèche de ses cheveux. Je repensais à la discussion que nous avions eu toute à l'heure. June. je plongeais mon regard dans le sien. Tu vas trouvé sa bête mais comme tu le sais je suis musiciens et j'ai une chanson qui me trotte dans la tête depuis que je te regarde. J'ai alors sortis ma guitare de ma poche. Oui je sors jamais sans mon instrument préféré et heureseument que la magie était là pour que je puisse emmener tout mon attirail avec moi. Je jouais quelques notes puis pris une vois suave en lui faisant un faisant un sourire en coin ainsi qu'en lui lançant un regard malicieux. Ti amo... un soldo ti amo... Mon coeur battait très vite tendis que je continais de chanter parce que je pensais ces paroles. Je ne la quittais pas des yeux cette fille m'avait touché en plein coeur je ne me rappellais pas avoir éprouvé quelque chose d'aussi fort auparavant.

Il me sourit cependant en frottant son nez contre le mien. Il me dit de ne pas m'inquiéter mais je m'inquiétais tout de même. Il le vit, et me répondit instinctivement qu'il savait se débrouiller (Mr Muscles mdr ). Il me dit qu'il avait une surprise pour moi, d'un air si mystérieux que j’essayais de chercher dan son regard ce que cela signifiait mais en vain. Il m'emmena dans la forêt "interdite". Il siffla et un animal se posa près de nous. Un sombral magnifique, comme je n'en avait jamais vu. Il prit ma main et m'aida à me hisser dessus en prenant bien soin à ce que je ne tombe pas de l'autre côté car le dos de cette jolie créature était un peu glissant. Je crois que je l'ai impressionné lorsqu'il se rendit compte que je savais monter, et oui, c'était peut-être la première fois que je montais sur un Sombral mais certainement pas la première fois sur une créature. J'étais déjà montée sur des chevaux et même sur une licorne. Toutefois, pour plus de sécurité, il plaça un bras autour de ma taille. Le sombral s'éleva alors dans les airs et nous pouvions qu'admirait la magnifique vue du domaine: les toits de l'école, le lac, la forêt, .... C'était magique. J'oubliais toutes les mauvais choses de la vie pour pouvoir profiter entièrement de ce moment . Je me retourna et regarda passionnément Tony, espérant que mon regard lui indiquerait tous mes états d'âmes. Il sourit. Le sombral attérit sur une petite colline non loin du lac, nous fessant profiter de sa fraîcheur.
Nous nous y installâmes pendant que celui-ci se reposait ou mangeait de petites touffes d'herbes. Nous y sommes restés un long moment, dans les bras l'un de m'autre ou allongés par terre à contempler le ciel constélé d'étoiles, main dans la main. Nous nous embrassions parfois et parlions ou rions d'autres. J'avais l'impression de tout connaître de lui. Ce ne fut que lorsque le soleil se leva que je reprit la notion du temps: nous avions passé une soirée et une nuit entière ici pourtant, je n'en avais pas l'impression. Ses yeux bleus brillaient dans le soleil levant et ses cheveux, d'ordinaire si foncés, paraissaient clairs. Nous nous étions rallongés lorsqu'il murmura mon prénom. Je me tournais vers lui en le regardant profondément. Il me dit que, comme il était musicien, il pensait sans cesse à une chanson et voulait me la faire partager. Je l'écoutais attentivement. Il commença à chanter et je souris: sa voix était magnifique et tellement en accord avec sa guitare. je m’étais redressée et entourait à présent mes jambes de mes bras, resantant le froid venir avec la fatigue. je fermais les yeux, toujours en écoutant sa chanson. Je le sentais me regarder même les yeux fermés. Une larme m’échappa et je rouvris les yeux en le fixant . C'était magnifique. Une fois sa chanson terminée, je souris et lui dit: C'était magnifique, ta voix était tellement belle. Il sourit et se rapprocha de moi en constatant que je pleurais. Ce n'est t rien, c'est que je suis tellement émue, c'était extraordinaire. Ca ne fait même pas un jour que l'on se connait mais j'ai l'impression que ça en fait plusieurs. Je ne sais pas comment ça se fait que tu connaisses déjà tout de moi .... J'avais tellement besoin de me confier, j'ai tellement confiance en toi! J'aimerais tellement que tout reste comme ça l'est maintenant. Je me levais et vint m'assoir à califourchon sur lui, ses jambes allongés dans l'herbe, prenant sa tête entre mes mains et le fixant intensément. Ses mains vinrent se poser sur mes hanches, me rapprochant un peu plus de lui. Je posais mon front contre le sien, fermant les yeux et me laissant porter par son souffle .

Après avoir chanté pour elle je m'étais assis sur un rocher non loin de là tendis qu'elle me complimentait sur ma voix. J'esquissais un sourire en posant ma guitare dans l'herbe. Lorqu'elle m'avait parlé j'avais cru voir des larmes dans ses yeux... Je m'approchais alors d'elle soudain inquiet. Je pris doucement son visage dans le mien. Tu pleures ? :/ Je voulais lui faire plaisir par l'éffrayer... :/ Puis elle m'a expliqué que c'était l'émotion!! Je lui caressais la joue. Rien ne changera ma poulette d'amour, je te le promet! Je l'ai alors embrassé tendrement sur la bouche et je me suis allongé à coté d'elle. Je fermais les yeux j'étais bien. Puis je sentis quelqun venir sur moi c'était June, j'étais encore mieux... Elle mit ses mains autour de mon visage en me regardant intensément. Automatiquement mes mains vinrent sur ses hanches. Qu'étions nous entrain de faire ? Elle posa son front contre le mien puis ferma les yeux. Je fis de même. Dans la fraicheur de la matinée trois petits me vinrent à l'esprit et j'ai du dompter mon impulsivité pour ne pas les lui dire... c'était beaucoup trop tôt! Je la renversais sur le coté en la couvrant de mon corps. T'as pas le droit... lui sussurai je alors à l'oreille. D'être aussi craquante. Un sourire s'imiscais sur mes lèvres tendis que je me mis à l'embrasser.

Il me bascula sur le côté et se retrouva sur moi, ses bras écartés le plaçant à quelques centimètres de moi. Il me murmura que je n'avais pas le droit. Pas le droit de quoi? lui demandais-je interloquée avant qu'il me répondre d'être aussi craquante, de sourire et de m’embrasser. je lui rendit son baiser tout en passant un de mes bras autour de son cou et en posant la paume de main opposée sur son torse. Nous restâmes ainsi pendant quelques minutes jusqu’à ce que je repose ma tête sur le sol, sentant qu'une crampe aller arriver . Nous ne nous quittions pas des yeux. Soudain, le sombral s'approcha de nous et nous poussa avec son museau. Nous éclatâmes de rire, il se releva et m'aida à me relever. Il partit chercher sa guitare, la pointât de sa baguette, et dit un sort qui la fit rétrécir et se transformer en porte-clé. Il sourit quand je vit que je le regardais plein d'admiration. Nous montâmes sur son sombral, lui me tenant toujours à la taille pour éviter que je tombe. Nous sommes attérit quelques minutes plus tard dans la forêt. Une fois descendus, il s'envola après que Tony lui ait donné une récompense et l'ai tapoter sur l'encolure. Nous nous dirigeâmes vers l'école en prenant soin à ce que personne ne nous voie. Je vais aller me coucher, on est dimanche, nous n'avons donc pas cours. lui dis-je ne entrant dans le hall presque désert et en me dirigeant vers les escaliers. Il me suivit et me murmura à l'oreille qu'il avait d'autres plans pour nous. Je souris alors qu'il me prenait par la main pour m'emmener à l'étage des dortoirs de sa maison.

Je sentais l'air frai vivifier mon visage ma nuque mon corps tout entier qui pendant quelques instants sur la colline avait commencé à s'embraser au contact de June. Tendis que nous étions sur le sombral je la voyais aux anges et rien ne pouvais me rendre plus heureux. Vous croyez au coup de foudre ? Moi non plus j'y croyais pas AVANT mais depuis que je l'ai rencontré mon petit monde tourne autour d'elle. Et je dois dire qu'au plus profond de moi je savais que c'était le début d'une passion intense et romantique qui allait nous définir pour toute la vie ! Je l'aimais cette fille y a que ça a dire. Je resserrais ma prise autour d'elle tout en caressant son ventre de ma main droite puis ne pouvant m'en empêcher je l'ai embrassé dans le cou. Je me mordais les lèvres si j'étais à ce point amoureux d'elle en une journée qu'est ce que ce serait dans deux mois ? Mais je préférais ne pas y penser profiter de l'instant présent est tout ce qui importait. Une fois arriver à terre j'ai remercié mon sombral puis je me suis tourné vers June. On y va ? Je fis un mouvement de la tête vers Poudlard en tendant ma main vers elle. Et c'est ainsi, d'un pas synchronisé et tranquille et nos doits entrelacés, que nous sommes arrivés à ce fameux hall qui allait nous séparer. Elle m'a alors dit qu'elle allait se coucher puis tendis qu'elle montait les marches d'un escalier je sais pas j'ai eu une impulsion. June attend! Je la rattrappais en posant ma sur sa hanche puis je lui est lançé un regard mysterieux en approchant ma tête de son oreille J'ai d'autres plans pour nous. Je l'ai alors guidé dans mon dortoir et je lui est proposé de dormir avec moi. Je tirais un des rideaux autour de mon lit puis pris sa main charmeur. Après vous Je m'installais ensuite dans le lit et l'enlaçais tendrement dans mes bras j'étais au paradis. Quelques heures après avoir récupéré je me suis réveillé. Je m'appuyais sur un de mes coude avec un sourire niai aux lèvres elle était pire que craquante avec ses cheveux un peu "sauvage" ses joues toute rose et son petit nez retroussé! Quelques minutes passèrent avant que je me décide à regarder l'heure. Hanlala déjà plus de midi! :s j'hésitais à la réveiller. Un sourire s'esquissait sur mes lèvres je n'avais pas hésité longtemps! Je bondis hors de mon lit en ouvrant les rideux afin de laisser bien entrer le soleil. DEBOUT LA DEDANS! :D elle a sursauté j'étais plié. Tu vas bien ma poulette d'amour ? Je m'approchais d'elle en l'embrassant sur la bouche pour lui dire bonjours. Je ne la quittais pas des yeux. Comment j'avais pu avoir autant de chance ? Puis soudain une lueur dans ses yeux m'a fait soudain prendre conscience que nous étions en présence d'une quantité démentiel de polochons. N'Y PENSE MÊME PAS! J'éclatais de rire cette fille était pleine de surprise.

Il m'a alors proposé de dormir dans son dortoir et j'ai accepté en souriant. Un fois rentrer dans sa chambre, il tira l'un des rideaux de son lit à baldaquin, me prit la main en me priant de m'installer sur son lit. Une fois allongée, je sentis qu'il glissait ses bras autour de moi. je fermais les yeux, réglant mon souffle au rythme du sien. J'ai dormi comme un bébé. Je fus réveillée par une soudaine lumière provenant des fenêtres. Je sursautais alors qu'il me disait de me lever . Je n'en avais pas envie. Il explosa de rire devant mon air interloqué. Il me demanda comment j'allais, je lui répondit très bien. Il s'approcha de moi et m'embrassa. Je lui rendit son baiser. Se reculant, je pu constater que son lit était tout pleins d'oreillers bien épais d'où s'échappait quelques plumes quand on s'appuyait dessus, ce qui me donna une idée . Je m'agenouillais. Il paru comprendre à la minute et me dit que je ne devais même pas rêver de faire ce que j'allais faire. Je ne me privais pourtant pas et me retourna vivement pour en attraper deux, un dans chaque main. Je me retourna, les polochons au bout de chaque bras. Tu crois ça? lui répondis-je en me levant d'un bond et me précipitant vers lui. Mais il avait été tout aussi rapide et s'était muni de polochons. Les cheveux dans les yeux, je ne voyais pas ou je lançais mes polochons mais savais qu'il y en avait au moins un qui lui été attérit dessus. Les siens finirent par me toucher et j'en prit plusieurs autres pour me venger. Nous rions aux éclats , les plumes volant autour de nous. Un oreiller attérit en plain dans ma tête, ce qui me fit tomber en arrière et, heureusement, attérir sur son lit. Il se mit à califourchon sur moi tout en continuant de me taper avec les cousins. Puis, il s'assit sur le rebord de son lit et je fis de même. Tu parles d'un réveil! lui dis-je en le poussant du bout du coude. Je posais ma tête sur son épaule et il me la tint de sa main gauche. Baissant les yeux, je remarquais que mes habits étaient tout froissés. Je me levais donc et lui dit je vais aller prendre ma douche, on se retrouve après pour déjeuner? Il me répondit qu'il allait faire de même, se leva, prit quelques affaires dans son armoire, me fit un petit bisou en me replaçant une mèche de cheveux et ouvrit la porte. Je sortis, suivie de lui. Il referma la porte et nous nous dirigeâmes, sans nous faire remarquer, en dehors de la salle commune. Nous nous dirigeâmes vers les douches des Serdaigle, je l'y abandonnait tout en lui promettant de se retrouver dans la grande salle une heure et demie plus tard. Nous nous embrassâmes de nouveau et je partis.

Evidemment elle ne m'avait pas écouté elle avait pris deux oreillers dans chaque main et j'avais fait de même avant de sortir du lit. Loupé ma chérie! Dis je en éclatant de rire. Je lui en avait relancé en contre attaque un de ste bloulet de canon qu'il avait fait tomber à la renverse s'était trop drôle. Elle avait les cheveux dans les yeux aucune chance qu'elle me vise juste seulement elle a eu de la chance et à finit par arriver mais c'est parce que je riais aussi! Je suis alors monté sur le lit et je me suis mis à cheval sur elle on s'est "battu" avec les polochons y avait des plumes partout dans le lit déjà qu'on avait foutu partout dans la chambre! Mais bon on passait un très bon moment ensemble. Puis on s'est arrêté un peu fatigué et je me suis assis sur le rebord du lit rebord qu'elle a rejoint a peine quelques secondes plus tard Je te le fais pas dire! Dis je avec un petit sourire en passant ma main dans mes cheveux afin de mettre ma mêche en arrière. Puis elle m'a dit qu'elle allait prendre sa douche mais qu'on se verrait pour le déjeuner. Ok ça marche! Dis avec un sourire. Je me levais du lit. Je vais aller prendre une douche aussi tiens! Mais t'inquiète je vais pas allez dans la tienne! Je lui tirais la langue en riant. Ah lala je te jure pourquoi les gens que j'aimais me faisait agire comme un gosse ? Je pris un serviette ainsi qu'un caleçon noir et je me suis retourné vers June. Elle m'attendait devant la porte, j'esquissais un sourire je replaçais une de ses mèche et je l'ai embrassé doucement sur les lèvres puis j'ai ouvert la porte. Elle sortie la première puis j'ai refermé la porte derière nous, ça va personne n'avait rien remarqué. Honnetement j'espérais que Kyle s'ennerverait pas quand il verrait dans quel état on a foutu le dortoir! Arrivé aux douches je lui proposais qu'on se retrouve d'ici une demie heure dans la grande salle. De nouveau je l'embrassais et entrais dans une des cabines.


HS tu réponds et après on clo le sujet :) on en fera un avec Zayn a la sorti des douche genre je sais pas dans le parc ou où tu veux! :p ça te va ? :)

HS: en fait c'est bon, j'ai fini dans le message d'au dessus ...! Ouiii on en ferra un avec Zayn , ah oui, à la sortie de la douche c'est pas mal ou alors genre, quand j'arrive dans le hall avec, lui tu viens vers nous et tout et tout? :).